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Présentation de la région

D’une superficie de 25 809 km2, la région Poitou-Charentes est constituée de quatre départements : la Charente, la Charente-Maritime, les Deux-Sèvres et la Vienne.

Sur le plan géologique, la région Poitou-Charentes a la particularité d’être très hétérogène. Au Nord-Ouest, les Deux-Sèvres sont en partie recouvertes par le massif armoricain, alors qu’au sud-est de la région se dessinent les premiers contreforts du massif central. Ces deux anciennes chaînes de montagne constituaient à l’ère primaire la chaîne hercynienne. Aujourd’hui, ces reliefs ne dépassent pas les 365 m d’altitude dans la région. Entre ces deux anciens massifs, s’intercalent deux bassins sédimentaires qui sont au nord-est le bassin parisien et au sud-ouest le bassin aquitain. Ces deux bassins communiquent par le seuil du Poitou.

A cette diversité géologique s’ajoute un réseau hydrographique assez dense qui dessine parfois des vallées avec des entailles profondes, comme sur le Clain à Poitiers et la Charente du côté d’Angoulême, générant parfois des micro-climats. Ce réseau hydrographique appartient, dans sa partie Nord, au bassin versant de la Loire (Vienne, Thouet) et au sud, au bassin de la Garonne. La région Poitou-Charentes compte aussi quatre fleuves (Sèvre niortaise, Charente, Seudre et Gironde) et de vastes marais littoraux.

Ce complexe géologique et hydrographique explique en partie la grande diversité paysagère de la région Poitou-Charentes (cf. carte), qui s’organise autour d’un grand schéma (CREN, 1999) :

  • des paysages de bocage au Nord-Ouest des Deux-Sèvres et dans l’est de la région qui sont souvent des zones abritant de nombreuses mares et donc favorables à la diversité batrachologique ;
  • des paysages ouverts au niveau de l’Aunis, d’une partie de la Saintonge et du seuil du Poitou où la céréaliculture est très présente ;
  • des plaines vallonnées et les terres de brandes qui sont parsemées de mares, parfois en grande densité (Pinail, Corigna, l’Hopiteau).
  • le littoral à l’Ouest, avec de vastes zones de marais tout à fait favorables, ainsi que quatre îles : Aix, Ré, Oléron, Madame.
  • Le sud de la région (Haute Saintonge) avec des habitats particuliers : tourbières, landes et boisements aquitaniens.

Le climat général du Poitou-Charentes est plutôt de type océanique, c’est-à-dire marqué par des hivers doux et des températures modérées. Plus on se dirige vers l’Est et plus ce climat océanique se dégrade et présente un climat semi-continental (hivers plus rigoureux) comme dans la région du confolentais.
Le littoral charentais présente le climat le plus ensoleillé de la France tempérée, ce qui explique la présence de zones aux micro-climats méditerranéens (présence de plus de 150 espèces végétales de type méditerranéenne). Cette particularité charentaise permet d’accueillir des espèces de reptiles et d’amphibiens ayant une répartition plutôt méridionale, comme le Lézard ocellé (Lacerta lepida), la Couleuvre girondine (Coronella girondica), le Pélobate cultripède (Pelobates cultripes), le Seps strié (Chalcides striatus) ou comme son nom l’indique la Rainette méridionale (Hyla meridionalis).

La diversité géologique, la diversité paysagère, les particularités climatiques, la position géographique sont autant de facteurs expliquant l’attrait de la région Poitou-Charentes pour l’herpétofaune.

Méthodologie de l’inventaire

Méthodologie de l’inventaire

La durée de l’inventaire :

Le premier bilan tiré de l’inventaire des Reptiles et des Amphibiens du Poitou-Charentes couvre la période 1990 – 2002, ceci dans l’objectif de faire suite à l’Atlas national publié en 1989 et d’obtenir, ainsi, un état des connaissances herpétologiques de notre région la plus actuelle possible. N’apparaissent toutefois ici que les données allant du 1er janvier 1990 au 31 décembre 2000 avec quelques informations importantes de début 2001.

Le maillage utilisé :

Le maillage utilisé pour la valorisation des données est défini au dixième de grade, chaque maille représentant un quart de carte IGN au 1/25000ème, soit un rectangle de 7×10 km. Ce découpage correspond aux autres Atlas régionaux existants : Chiroptères, Mollusques…

La collecte des données :

Une fiche de récolte de données a été créée lors de la mise en place de l’inventaire. Elle est constituée de plusieurs parties apportant les renseignements nécessaires pour la prise en compte des observations réalisées. La première partie nous renseigne sur l’observateur et le type de recherche effectué. La seconde reprend les informations nécessaires à la localisation géographique des observations. Et enfin, la dernière évoque les espèces : nom, type de contact, abondance…(annexe 1)

Les méthodes d’inventaire :

Les méthodes de récolte de données sont multiples et dépendent principalement des espèces recherchées.

Les Amphibiens
La récolte des données d’Amphibiens a essentiellement été réalisée à partir des méthodes suivantes :

• l’identification par les chants
Tous les Anoures chantent lors de la période de reproduction qui peut être plus ou moins courte selon les espèces. Toutes sont potentiellement identifiables par cette méthode mais nécessitent pour certaines (Grenouilles vertes) une formation poussée. Certaines d’entre-elles émettent des chants relativement puissants comme les Rainettes ou le Crapaud calamite, d’autres au contraire, émettent des sons relativement peu audibles (quelques mètres seulement) comme le Sonneur à ventre jaune, le Pélobate cultripède ou la Grenouille agile. La réalisation de points d’écoute en période favorable s’avère donc une méthode très utilisée et efficace pour ce type d’inventaire.

• les observations orientées
Pour rechercher des espèces discrètes et à faible répartition, des recherches spécifiques sur certains biotopes (carrières, dunes…) sont nécessaires. Ainsi, des recherches nocturnes sur certains milieux aquatiques, des pêches à l’aide d’épuisettes dans les mares, ont été réalisés.
Les prospections à l’aide de lampes le long des mares sont aussi riches en observations.

• les cadavres identifiés sur les routes
Les routes sont souvent traversées par les Amphibiens au printemps au moment où ils rejoignent leurs sites de reproduction, ou bien à l’automne lorsqu’ils font le chemin inverse. Les cadavres trouvés constituent alors une part non négligeable des observations, notamment pour certaines espèces comme le Crapaud commun, la Salamandre tachetée, la Grenouille agile, les Rainettes.

Les Reptiles
La récolte des données de Reptiles a été réalisée par différentes méthodes : la recherche orientée, l’identification des cadavres sur les routes et par des observations inopinées.

• les recherches orientées
Des recherches spécifiques réalisées sur biotopes favorables aux espèces recherchées ont parfois été réalisées. Ces recherches ont principalement concerné des espèces extrêmement discrètes comme les Coronelles, le Lézard ocellé ou la Cistude d’Europe.

• les cadavres identifiés sur les routes
Entre le printemps et l’automne, les routes sont régulièrement traversées par les Reptiles, et les cadavres trouvés constituent une part non négligeable (460 données sur 3842 collectées à ce jour) des observations.

• les observations inopinées
Une partie des observations de serpents recueillies au cours de cet inventaire ont été réalisées de façon inopinée : une couleuvre qui traverse une route, un jardin ou une prairie par exemple.

Principaux résultats de l’enquête

Principaux résultats de l’enquête

Couverture de l’Atlas et pression d’observation (voir carte)

• nombre de mailles au 1/10ème de grades en Poitou-Charentes : 429

• nombre de mailles avec au moins une donnée : 376 ce qui représente plus de 87% du territoire de la région Poitou-Charentes couvert lors de cet inventaire

• nombre de mailles sans donnée : 53, la majorité d’entre-elles correspondent à des zones limitrophes avec d’autres régions

Base de données :

Cet Atlas préliminaire est élaboré à partir de 8914 données allant du le 1er janvier 1990 au 31 décembre 2000. Une pression d’observation plus importante entre 1997 et 2001, a permis de recueillir la majeure partie des données collectées (6807), soit plus de 76% des informations.

Nombre de données par département

Répartition des données par année

Nombre d’observateurs par département :

Charente : 49

Charente-Maritime : 88

Deux-Sèvres : 49

Vienne : 59

Autres départements : 25

Echange CEBC : 16

Echange SHF : 45

Total : 331

Cet inventaire régional relayé départementalement par les associations de protection de la nature a permis de mobiliser un nombre important d’observateurs réguliers ou occasionnels. Des naturalistes de passage dans notre région nous ont également fait parvenir des données. Un partenariat avec le CEBC (Centre d’Etudes Biologiques de Chizé) a également permis d’intégrer à cet inventaire un certain nombre de données de reptiles écrasés. Enfin, une convention d’échanges avec la SHF (Société Herpétologique de France) a permis de recueillir des données supplémentaires.

Nombre d’espèces par maille

(voir cartes pages 22 et 68)

Nombre total d’espèces recensées

Au total 22 taxons d’Amphibiens et 15 de Reptiles ont été recensées au cours de la période considérée.