GALIUM PARISIENSE L.
GAILLET DE PARIS
Janv. | Fév. | Mars | Avril | Mai | Juin | Juil. | Août | Sept. | Oct. | Nov. | Déc. |
Données historiques (<1990) | Données bibliographiques récentes (1990-2004) | Données dans le cadre de l’inventaire (2005-2009) | Nombre de communes où l’espèce est présente | ||
(1900-2009) | (2005-2009) | ||||
16 | 0 | 0 | |||
17 | 0 | 0 | |||
79 | 0 | 0 | |||
86 | 1 | 1 | 1 | ||
Poitou-Charentes | 1 | 1 | 1 |
Informations complémentaires
Baron Y. (com. pers.) : 1 station en Charente, 6 en Charente-Maritime, 5 en Vienne de 1970 à nos jours.
Le Gaillet de Paris est très sensible à la compétition et à l’intensification (JAUZEIN, 1995).
La Flore de Souché (1901) cite cette espèce sous la synonymie de Galium anglicum, en une quinzaine de localités pour la Vienne et une dizaine pour les Deux-Sèvres.
En 2000, l’espèce est considérée pour les départements de la Charente, Charente-Maritime et Deux-Sèvres comme trop commune pour figurer à la liste des espèces déterminantes (JOURDE, TERRISSE (coord.), 2001). Le Gaillet de Paris a été observé récemment (postérieur à 2005) en une seule localité dans la Vienne, à la limite avec les Deux-Sèvres. Ce peu d’informations, en fait donc une espèce estimée très rare en tant que plante messicole à l’échelon régional.
Commander le cahier technique des Plantes messicoles du Poitou-Charentes d’où est issu cet article