APHANES ARVENSIS L.
Alchémille des champs
Janv. | Fév. | Mars | Avril | Mai | Juin | Juil. | Août | Sept. | Oct. | Nov. | Déc. |
Données historiques (<1990) | Données bibliographiques récentes (1990-2004) | Données dans le cadre de l’inventaire (2005-2009) | Nombre de communes où l’espèce est présente | ||
(1900-2009) | (2005-2009) | ||||
16 | 25 | 17 | 17 | ||
17 | 10 | 9 | 9 | ||
79 | 20 | 5 | 5 | ||
86 | 2 | 6 | 155 | 59 | 54 |
Poitou-Charentes | 2 | 6 | 210 | 90 | 85 |
Un risque de confusion existe avec l’Alchémille oubliée (Aphanes australis). Elle diffère de cette dernière par ses fruits plus grands et ses stipules moins profondément incisées. A noter que ces plantes ont la capacité remarquable de produire des graines fertiles en absence de fécondation.
L’Alchémille des champs est présente et assez commune dans toute la France, excepté en région méditerranéenne où elle se fait plus rare. Elle est très commune en région Poitou-Charentes.
Commander le cahier technique des Plantes messicoles du Poitou-Charentes d’où est issu cet article